Neumann U87 |
A cause de sa grande sensibilité, un micro électrostatique s’utilise sur un pied et avec une suspension élastique.
Pour fonctionner, il a aussi besoin d’une alimentation continue (généralement 48V). Cette tension est fournie via le câble du micro (XLR/XLR) par l’alimentation fantôme d’une table de mixage ou d’un préamplificateur.
Surtout avec une large membrane, les seuls vraiment inconvénients d’un micro électrostatique sont sa résistance au choc physique, et sa résistance et réaction face aux très fortes pressions acoustiques. Pour ces sons très forts directs (batteries, guitare amplifiée …), l’utilisation de micros dynamiques est plus efficace.
Tous les micros offrent une directivité cardioïde, c’est-à-dire que la source sonore doit être devant la face principale du micro. Cependant, les micros électrostatiques à doubles membranes présentent d’autres options en plus : omnidirectionnelle, bidirectionnelle ; ces options sont sélectionnées avec un commutateur présent sur ces micros.
Comment choisir son micro de studio ?
Même si tous les micros d’enregistrement sont censés reproduire fidèlement tout type de son, chaque micro a sa propre caractère de sensibilité et de rendement au niveau des fréquences, ce qui lui donne sa propre couleur de son ou « grain ».
Selon le résultat souhaité, un micro pourrait être mieux adapté à une voix par exemple que les autres.
La qualité d’un enregistrement commence par la qualité du micro utilisé, mais savoir l’utiliser est une autre chose. C’est sûr, un micro électrostatique à environ 200 euros bien positionné peut rivaliser un à plusieurs milliers d’euros mal positionné.
Le bon choix est donc très vaste et il y en a pour tous les budgets ; et si le moyen le permet, les micros légendaires comme le Neumann U87 sont célèbres certainement pour leurs performances, mais beaucoup d’entre nous ont été satisfait avec les Rode, Audio-Technica, Berhinger, Shure, AKG, etc même en entrée de gamme.
Il n'y a pas donc de règle stricte sur le choix du micro ; je dirais que l’astuce est de savoir écouter et de savoir utiliser.
Shure SM 57, micro dynamique très polyvalent ! |
Comment choisir son micro de studio ?
Même si tous les micros d’enregistrement sont censés reproduire fidèlement tout type de son, chaque micro a sa propre caractère de sensibilité et de rendement au niveau des fréquences, ce qui lui donne sa propre couleur de son ou « grain ».
Selon le résultat souhaité, un micro pourrait être mieux adapté à une voix par exemple que les autres.
La qualité d’un enregistrement commence par la qualité du micro utilisé, mais savoir l’utiliser est une autre chose. C’est sûr, un micro électrostatique à environ 200 euros bien positionné peut rivaliser un à plusieurs milliers d’euros mal positionné.
Le bon choix est donc très vaste et il y en a pour tous les budgets ; et si le moyen le permet, les micros légendaires comme le Neumann U87 sont célèbres certainement pour leurs performances, mais beaucoup d’entre nous ont été satisfait avec les Rode, Audio-Technica, Berhinger, Shure, AKG, etc même en entrée de gamme.
Il n'y a pas donc de règle stricte sur le choix du micro ; je dirais que l’astuce est de savoir écouter et de savoir utiliser.
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