- Le choix du lieu :
Le choix du lieu est primordial, un environnement calme est le mieux adapté. Conscient que le son se propage aussi par le sol et par le mur des bâtiments, s’éloigner des vacarmes de la rue, des machines industrielles, d’une machine à laver, d’un frigo, bref de tout ce qui vibre ou bourdonne s’avère nécessaire, car même si c’est faisable, il est difficile et coûteux d’anéantir ces bruits.
- L’isolation phonique :
Avec des joints, on doit boucher tous les trous, surtout en bas des portes et fenêtres, puis, matelasser et si nécessaire doubler les portes pour que l’isolation avec son extérieur soit parfaite pour chaque salle. (Imaginer une séance d’enregistrement perturbée par le bruit d’une moto qui passe, ou par le bruit de la chasse d’eau de la toilette à côté ! Puis, il ne faut surtout pas gêner les voisins par les prises de batterie ou les séances de mixage nocturne). L’insonorisation est aussi valable et même très important entre une salle d’enregistrement et sa salle de contrôle.
- L’acoustique :
La neutralité acoustique de chaque salle n’est pas à prendre à la légère ; le but principal est d’y avoir un son mat, sans aucune réflexion gênante dans tout le spectre de fréquences (Réverbération trop longue, flutter, accumulation des fréquences basses dans les coins, etc…).

Pour le sol, une moquette améliore le tout.
- L’air frais :
Enfin, de l’air frais fait toujours du bon à tout le monde, donc, il faut trouver ou concevoir un système d’aération adapté pour chaque cas.
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